QCM |
Trouvez les propositions exactes.
QCM 1. Le potentiel dégénératif d’un polype dépend :
a. de sa taille.
b. de sa durée d’évolution.
c. de sa morphologie.
d. de sa composante villeuse.
e. de son degré de dysplasie.
QCM 2. Le cancer colorectal :
a. est la 1ère cause de cancer tous sexes confondus, en France.
b. a une fréquence qui augmente après 50 ans.
c. est aussi fréquent chez l’homme que chez la femme.
d. est, au niveau histologique, le plus fréquemment un adénocarcinome liberkühnien.
e. a un taux de survie, tous stades confondus, d’environ 40% à 5 ans.
QCM 3. Les indications de coloscanner à l’air sont :
a. Coloscopie incomplète dans le cadre d’un dépistage chez un patient à haut risque de cancer colorectal.
b. Rectorragies chez un patient aux antécédents de coloscopie incomplète.
c. Dépistage chez un patient de 61 ans, aux antécédents familiaux de cancer colorectal, refusant la coloscopie.
d. Dépistage chez un patient à haut risque de cancer colorectal, asymptomatique sous anticoagulants pour valve cardiaque.
e. Coloscopie incomplète due à une sténose tumorale.
QCM 4. La préparation avant réalisation d’un coloscanner à l’air :
a. est uniforme dans l’ensemble des études de la littérature.
b. comprend un marquage des selles qui permet de s’affranchir de tout problème d’interprétation.
c. est basée actuellement sur une préparation à base de laxatifs.
d. comprend une administration de glucagon pour réduire les spasmes coliques.
e. est parfois médiocre, à l’origine de nombreux résidus liquidiens. Il est possible, dans ce cadre de réaliser plutôt un coloscanner à l’eau.
QCM 5. La technique d’interprétation du coloscanner à l’air :
a. est basée sur l’interprétation 2D première.
b. est basée sur l’interprétation 3D première.
c. peut être une lecture 3D seule.
d. est basée sur la complémentarité des lectures 2D et 3D.
e. comprend obligatoirement une lecture 2D en fenêtrage tissus mous.
QCM 6. La différenciation polype – résidu stercoral au coloscanner à l’air est basée sur :
a. les contours anguleux du résidu stercoral.
b. la densité homogène du polype.
c. les changements de position du résidu stercoral entre l’acquisition en procubitus et celle en décubitus, alors que le polype reste toujours à la même place.
d. le caractère constamment marqué par le produit de contraste du résidu stercoral.
e. la présence de bulles d’air au sein du résidu stercoral.
QCM 7. En ce qui concerne les adénopathies dans le cadre des cancers colorectaux, trouvées sur les coloscanners à l’eau :
a. Le coloscanner à l’eau a une excellente sensibilité et une excellente spécificité de détection des adénopathies.
b. L’ensemble des ganglions pelviens (iliaques, périrectaux,...) ne doivent être décrits que s’ils mesurent plus de 10 mm.
c. Une adénomégalie inter-aortico-cave fait classer un cancer du sigmoïde en N1.
d. Une adénomégalie mésentérique fait classer un cancer du colon transverse en N1.
e. Une adénomégalie inguinale fait classer un cancer du bas rectum en N1.
QCM 8. Un cancer colorectal envahissant la sous séreuse, accompagné de 4 adénopathies péricoliques, sans métastase retrouvée est classé :
a. T2 N1 M0
b. T2 N2 M0
c. T3 N1 M0
d. T3 N2 M0
e. T4 N2 M0
QCM 9. En ce qui concerne la revue de la littérature,
a. L’ensemble des articles étudiant le coloscanner à l’air sont concordants et montrent sa supériorité par rapport à la coloscopie.
b. Les protocoles de réalisation du coloscanner à l’air sont uniformes dans les différentes études.
c. L’étude de Pickhardt (9) montre une excellente sensibilité de détection (> 90%) des polypes adénomateux supra centimétriques par le coloscanner à l’air.
d. Les différences de technique de réalisation du coloscanner à l’air (collimation, type de matériel utilisé, marquage des selles ou non, ...) expliquent en partie la divergence des résultats trouvée dans les études.
e. De nombreux articles étudient le coloscanner à l’eau, montrant un véritable engouement pour cette méthode d’exploration.
QCM 10. La différenciation spasme – cancer colique sténosant au coloscanner à l’eau est basée sur :
a. l’étude de l’environnement péricolique (infiltration de la graisse, adénomégalies).
b. le caractère modéré et harmonieux de l’épaississement pariétal dans le spasme colique.
c. l’étude des 2 acquisitions : sans et avec injection de produit de contraste ; le segment spasmé, au contraire de la néoplasie n’étant jamais retrouvé sur les 2 acquisitions.
d. la fréquente association des segments coliques spasmés à la présence de diverticules.
e. l’irrégularité des marges extraluminales du cancer colorectal.